La tache. [Priver Grass Mate]

HÔPITAL DE CANTERLOT :RAPPORT DU PATIENT 23

Jour 7 ---

Patient n°23 ---
Etat: Stable ---
Dose administrer - 500 ml de Prosium - : Administrer ---

Rapport: Le produit a l'aire de faire de l'effet, le patient est devenu amorphe. Il ne ressent plus rien mais durant un court instant. Nous pensons a augmenter la dose journalière. Le patient ne parle pas, mais il a l'aire conscient.

Fin du Rapport.

-------------

Jour 8 ---

Patient n°23 ---
Etat: Instable ---
Dose administrer - 750 ml de Prosium - : Administrer ---

Rapport: Le patient a fait une mauvaise réaction au produit durant la nuit. Nous avons augmenter la dose.
Le n°23 a régurgité son repas dès suite à la dose quotidienne de Prosium. Sa maladie nous intéresse, nous devons l'étudié de plus près. Il devra rester sous surveillance.

Fin du Rapport.

-------------

Jour 9 ---

Patient n°23 ---
État: Très Instable ---
Dose administrer - 1000 ml de Prosium - : Non administrer ---

Rapport: Le patient à reçu la visite d'un de ses proche aujourd'hui, tard. Ce dernier a demander a nos infirmeries de sortir de la chambre. Quelque instants après, les aides soignantes ont entendus des bruits de coups et des cries puis, du verre qui se brise. Une fois a l’intérieur, les nurses ont trouver le visiteur ,qui se trouvait être le frère du n°23, coucher par terre, couvert de bleus et de sang.
Le patient 23 s'était enfui par la fenêtre en emportant avec lui les pilules de Prosium.
Il faut a tout prix retrouver le patient en fuite. Le Prosium est un produit instable et rétrogradiphe. Le Prosium est un liquide qui efface tout ressenties et sentiments chez une personnes, peut importe la personne. Si le n°23 ne prend pas des doses de Prosium de plus en plus faible, un flux de sentiments pourraient pourrait le rendre très instable.



Je cours, je m'enfui dans les rues de Canterlot. La neige commençais a tomber doucement dans la capitale.  Les pavés gris se recouvraient de blanc petit à petit. Le bruit de mes sabots qui claquaient au sol se remplacèrent rapidement par un silence de mort.

J'haletais, ne sachant pas où allez. Je ne pouvais plus retourner a l’hôpital ni chez ma famille.
J'haletais, et a chaque expirations, du sang sortait de ma bouche. A chaque pas posés sur le sol, des gouttes de sang coulaient de mes oreilles.
Mes pas sont de plus en plus imprécis, je m’embrouille les sabots, je manque de tomber plusieurs fois ...

J'ai mal a la tète ... Tout tourne autour de moi ... Je titube ...
Ma course s'emballe, je percute un pavé qui es sorti de la route, je tombe et glisse sur la couche de neige qui ses formée ...

Un bruit horrible me martèle la tète, un son aiguë qui me rend sourd.

Ma vision se trouble ... Je ne vois plus rien. Mes yeux ne veulent pas se fermer, je ne distingue plus rien a part une ombres vague qui bouge.  

Ma bouche reste ouverte, du sang coule doucement.
La neige continue de tomber doucement sur moi comme une couverture de neige qui tombait du ciel se déposa, comme une mère couvrant son enfant avant de lui souhaité une douce nuit ...

Dans les rues blanches et froides de Canterlot, le silence régnait en maître, partout SAUF dans cette rue, des bruit de pas dans la neige, du bois qui grince légèrement, le tintements de clochettes et un sifflement, et au milieux de cette rue, un poney joyeux, emmitouflé dans une chaude tenu, tractant une roulotte multicolore dont sortait par la petite cheminé une fumé légère et laissant derrière elle le fumet d'une bonne soupe comme on les aimes les soirs d'hivers.

Enfin, Canterlot, je vais pouvoir faire des affaire, tous ces bonnets tricoté comme je le pouvais vont me permettre de pouvoir racheter un peut de bois, réparé ma roulotte et va vider les poches de ces riches ! Dire qu'ils me les achètent que pour ce donner bonne "conscience", n'importe quoi...

Je continuait a avancé doucement, une tempête de neige avait été prévue cette nuit, il fallait que j'atteigne le centre ville avant pour être a l'abri, mais je fut stopper dans mon élan, un bosse dans la neige.

Tiens, qu'est ce que ce truc ? Bah, allons voir, si sa se trouve ça va être un truc rigolo, ou utile.

Je m'approchait de la bosse, la neige était rouge... j'aimais pas ça, je dégageais un peu de neige... de la fourrure, je m'empressa d'en enlever plus, de la fourrure blanche, bleu, du rouge.... du sang... beeerk, mais c'est quoi ça ??? Puis j'enlevais la neige et découvrit le visage d'un poney, ou d'une ponette, je savais pas trop, du sang coulait de ça bouche, et sur ça tête une blessure, avec des morceau de verre planté dedans... je peut pas le laisser ainsi...

Je me détacha de ma roulotte pour être plus libre, et attrapa le poney au sol et le mis sur mon dos, je le porta jusqu’à l’intérieur de ma roulotte, et le déposa sur une couverture mise sur le lit pour évité de salir le lit de son sang. J'avala d'une traite un bon bol de soupe chaude, puis mis a chauffé de l'eau, et commençais a enlever les bouts de verre de ça tête, ce fut un peut dur, mais j'avais réussie, dehors la tempête avais commencé, je pouvais plus avancer sous se temps, j'avais pousser ma roulotte dans une ruelle adjacente a l'abri du vent et de la neige.

Pendant une bonne vingtaine de minute, j'avais pris le temps de nettoyer toutes les plaies visible du poney avec l'eau chaude, ainsi que les tache de sang sur ça fourrure, et j'avais pris le temps de lui mettre des bandage pour qu'il guérisse.

Je ressortait, malgré la tempête, j'avais peut être oublier un truc qui lui appartenait, et donc retournait la ou je l'avais trouver avec une lanterne, et j'avais raison, dans la neige une boite de pilule, des médicament que j'avais jamais vue, il devait venir de l’hôpital, et si il a fui, c'est pour une bonne raison, je décida donc de ne pas le ramener, qu'il m'explique, et toute la nuit, je veillais sur ce poney inconscient dans ma roulotte, laissant de l'eau et de la soupe sur la poêle a bois pour les avoir chaud, et je lisait, profitant juste du son du vent comme mélodie.

Je me réveille, doucement ... J'ai ... affreusement mal a la tête ... Aïe !
J'ouvre doucement les yeux ...
Ou ... Ou suis-je ? Je ne reconnais rien ... Aïe ma tête ... J'ai tellement mal ...
Il y a un poney en face de moi ... Qui es ce ?
Je regarde autour de moi, ca resemble a une charrette mais améliorer ... Il y a un poele avec une petite cheminer, je sent une odeur de soupe. Mon ventre gargouille ... J'ai faim ...

Je regarde l’étrange poney. Je n'ai aucune expression au visage. Je pense a rien a part a cette soupe ...

J'ouvre doucement la bouche, j'essaye de parler, aucun son ne sort.
J’écarquille les yeux. Je ... ne peux plus parler ...
Je me force a parler, je pouce sur ma voix et finallement un très leger song aigu sort de ma bouche.
Je souriais ... Je ... souriais ... Cela faisait depuis longtemps que je n'avais pas souris ...

J'ai eu la force d'encore pousser un son, une phrase :

" Je pourrais ... avoir cette soupe s'il vous plait ?"

Je ne regarda pas le poney, je fixais la soupe, j'avais tellement faim ...
Puis je glissa mon regard un peu partout, je mémorisais plein de petit détails ... Je n'essayais pas de me souvenir de se qu'ik c'etais passer, ni du pourquoi j'etais la, ni meme qui j'etais.
J'avou ne me rappeler de rien mais ca ne m'inquiete pas, ce poney dois surment avoir les reponce que je chercher ...

Le vent soufflait a l’extérieur et le petit feu dans la poêle crépitait, les deux ensemble formait une douce mélodie, qui remplissait la roulotte, accompagné par la danse de la lueur orangé provenant des flamme dans la pièce, un opéra en soit.

Je lisait, paisiblement, un des livres que j'avais dans ma roulotte, un polar, parmi des livre de tout genre et tout origine, je parcourais les pages de mes yeux, buvant de temps en temps dans une tasse de soupe.

Soudain, je vit le poney qui était sur mon lit, ces yeux s'ouvrirent, la petite lueur orange ce reflétait sur leurs bleu nuit, telle un soleil couchant sur un océan profond, c'était magnifique. Il parcourait la pièce de ses yeux, enfin plutôt la roulotte, mais un peu de douleur ce lisait sur son visage, surement du a ses blessure.

Un petit bruit venait de son ventre, un gargouillis, je souriais un peu, il me regardait, puis il ouvrit la bouche, surement pour essayer de parler, ce qu'il réussie dans un petit sourire, afin de me demander de la soupe.

Il fixait la soupe, si il aurait été un licorne, ça magie lui aurait amener la casserole, hélas pour lui, il était pégase. Il ne me restait comme solution de me lever et de lui servir, ce que je fit, je déposa le livre sur un petit tas de livres, et récupéra un bol, que je remplie de soupe et lui déposa a coter de lui.


Je ne pouvais rien faire d'autre, tant qu'il ne parlerais pas, je ne pouvais entamer la discutions et savoir  quoi que ce soit sur lui, mais cela me gênais guère, je n'insisterais pas, tant que je l'aidait, ça me convenait.

Je vis l'étranger poser des bouquins sur le lit pour que je puisse manger la soupe tranquillement.
Il étais souriant, tranquille je dirais même qu'il était posey comme dise les jeunes.

Ma vue allait un peu mieux je voyais beaucoup moins floue, j'ai enfin pu voir à quoi ressemblais mon sauveur car oui si j'étais rester sous la neige, j'aurais sûrement passer l'arme à gauche ... Ce poney m'avais sauver la vie ... Je répéta cette phrase dans ma tête plusieurs fois ...
Ç'étais la première fois qu'on me sauvais la vie ... Et dieux sais si j'aurais aimer qu'on me sauve de mon frère étant enfant ....
Je regardais le poney, il était grisé blanc avec une crinière verte pas coiffer, des bracelets en tissu et un médaillon avec un symbole Peace ...

Je regardais le poney d'un air neutre, pourquoi se poney m'avais t-il récupérer ?
Je n'ai jamais eu vraiment d'amis et je ne sais pas se que "gentil" veux dire, mais apparentement se poney voulait être ... gentil avec moi.

Je regarda le poney, je ne savais pas se qu'il allait me faire ... J'hésitais a m'enfuir mais la tempete etais de plus en plus violente dehors ... Je commença en lui posant une question qui me trottais dans la tete depuis longtemps :

" Tu ... sais qui je suis ...? Je ... Ne me souvient de rien, je n'ai pas de souvenir a par d'un hospital froid, où je me sentais si seul ... Je ... ne veux pas te faire de mal ... Je veux juste ... Savoir qui je suis ... "

Je regardais la petit flamme qui vassilait au vent glacée qui entrais dans la caravane, je ne connaisais a partir de maintenant que cette caravane ... Et mes seuls souvenirs étaient se poney me donnant une soupe ...

Que puis-je faire dans se vaste monde ... si je n'ai plus rien ... Pas de famille, ni d'amis ... Meme pas un souvenir a revisiter au milieux de la nuit ... ?

J'étais assis, je regardais le poney que j'avais récupérer, il reprenait ses esprit, il me regardait mieux, m'observant plus profondément, il devait ce poser plein de questions, mais aussi penser au reste.

Au dehors la tempête augmentait, ce qui, dans une énorme bourrasque de vent, ouvrit légèrement une fenêtre faisant vaciller la flamme de la poêle, il fallait vraiment que je répare ma roulotte, aussi j'avais été con de pas prendre plus de précaution sur cette route verglacé qui venait et avoir laisser glisser la roulotte dans un fossé....

Je me leva, et referma la petite fenêtre, et ré-enclencha le petit verrou qui devait la bloquer, aussitôt fait je revins a ma place, pour continuer de sourire au poney qui pensait.

Puis enfin, il décida de me parler, et avec de grande hésitation, il me demanda qui il était, et me raconta de ses seul souvenirs, un hôpital froid ou il était solitaire,... me voici bien embarrassé, je ne connaissait rien de ce qu'il me demandait... même si il me demandait qu'une simple chose.

J'étais mal a l'aise de pas pouvoir lui répondre, il allait être triste, et je l'était aussi pour lui, je baissa le regard, et lui dit la vérité :


Le pauvre, que faire ? Ça allait lui donner un coup au moral, la seul chose qu'il veut, et je peut pas l'aider... Qu'est ce qui me remonte le moral dans les moment comme ça ? Une douceur... des bonbons, il m'en reste, je le sais, j'adore ça, des marshmallow, des petits dragon en gélatine, des sucre d'orge, du réglisse, des caramel mou et j'en passe...

Je sortie d'un tiroir un petite boite en bois avec un petit verrou, comme pour protéger un trésors, et les bonbons sont un trésors en soit, ces merveilleuse petite chose peuvent soulager n'importe quoi, et lier des gens ensemble par le partage d'une chose que tous le monde aime, une sorte de langage universelle... ou un truc du genre

Je ne regardais toujours pas le poney, toujours gêner de pas pouvoir avoir répondu... mais j'ouvris la boite, et lui tendait avec l'assortiment de bonbons sous le museau.


J’espère qu'il appréciera, j'aimerais pas me fâché avec un poney que je connais a peine... Mais j'y pense, des gens vont le chercher, il passerons surement une annonce au journal, voila comment répondre a sa question.

J'étais content d'avoir pu penser a ça, je regardais a nouveau le poney avec un sourire :


Voila, j'esperais maintenant pouvoir revoir un sourire sur le visage de ce poney

Je regarda le poney, déçu ...
Au final, il ne savait pas plus que moi se que je faisait ici, ni même qui j'étais ...
Je n'avais plus rien et ... au fond cela ne m’inquiétais pas plus que ça, bizarrement ... Tous se que je savais c'est qu'il fallait que je me tiennent loin de l’hôpital ... Bien sur si je voulait des réponse il me suffirait d'y allez, mais quelque chose me disait que je n'y ressortirais pas ...
J'observais paisiblement mon lit, j’étais au chaux, tandis que mon sauver lui étais en proie au froid mordant de la tempête dehors qui d'ailleurs semblait se calmer petit a petit ...
Je pris ma couverture et la lui posa sur les épaules pour ne pas qu'il ai encore plus froid.

Je regarda le sac de bonbon et puis je me lance faiblement dans une phrase improviser :

" Boarf ... C'est pas grave, je ne t'en veux pas ... Enfin si, mais pour le moment je pense que je vais juste essayer d'aller un peux mieux ... *farfouille dans le sac de bonbon* Hey , c'est quoi cette petite chose noir ? *miom* Hey mais c'est super bon ! Je peut en avoir un autre ?"

J'essaya de me lever, mais mes pattes me faisait très mal ...
Je voulais aider, je n'aimais pas cette ambiance, le faite que je profite trop de l'hospitalité du poney ...

" En faite, je ne t'ai même pas demander ton nom ? Apres tout tu m'as sauver la vie et je te suis reconnaissant pour ça .... merci ...."

Je me posa près du lit, assis sur une chaise, un peu d'exercice me ferais du bien ...

Je sentis une couverture se poser sur moi, être au chaud... la douceur et le moelleux de la couverture chaude sont merveilleux, j'adorais ça, j'étais content, et malgré mon annonce que je ne savais rien, le poney avait pas l'air contrarier, juste... normal... Ça me remontait le moral, savoir que je n'avais pas tous foirer. Il me disait même que ce n'était pas grave, qu'il voulait juste aller mieux

Le froid revenait dans la roulotte, alors que dehors, la tempête faiblissait, je voyais le feu qui mourait dans le poêle, il fallait pas qu'il s'éteigne, j'avais plus beaucoup de bois, et si par malheur il venait a mourir, j'userais plus de bois a le rallumer.

Très vite, je profitait que le poney fouillait dans les bonbons a trouver son bonheur pour remettre une petite bûchette dans le feu, ce qui eut comme effet de le ressuscité quasi instantanément, dégageant une vague de chaleur dans la roulotte.

<<Hey , c'est quoi cette petite chose noir ?>> me demandait le pégase en face de moi, ayant chiper un réglisse, qu'il mangea sans hésitation déclarant instantanément que c'était <<Super bon>> et demandant a en prendre d'autre.


J'étais tous souriant, ce poney allait mieux, et c'est ce qui comptait, mais il se leva et vint s'asseoir près de moi, hors du lit, sur un petit tabouret qui traînait la, près du feu.

Puis, il me demanda mon nom, me remerciant pour l'avoir sauver


Je le voyait récupérer plein de petit bout de réglisse et les manger, c'était marrant, ce poney mystère adorait ça, a chaque fois qu'il en mâchait un, il souriait, je pu m'empêcher de lui faire remarqué :


Je lâchait un petit rire et un grand sourire en disant ça, espérant ramener plus de bonne humeur.

Se poney continuais de sourire de toutes ses dents, je continuais a manger ses espèce de bonbon noirs.
Je resta assis a coter de lui, j'esquissa un sourire quand il me dit que j'allait devenir réglisses si je continuais a en manger.  

Je regardais le bonbon et je soupira :

"Du réglisse ...? Pfff ... tu vois Grass, même ses bonbons ont une identités, ils ont un nom et une fonction  ... Moi ... Je n'ai rien ... "

Après avoir englouti un dernier morceau de réglisse, je remarqua que la tempête c'étais arrêter momentanément.
J'en profita pour passer ma tête dehors puis descendre prudemment les marche de la charrette qui étaient devenus glissantes avec la neige. Mes pattes continuais a le faire souffrir, mes sabots entraient dans la neige et laisser une trace dans la fine couche de neige.
Je regardais le ciel gris, des flocons tombaient tranquillement sur le sol. L'un d'eux tomba sur mon nez se qui me fit éternuer d'une manière adorable.  

Je regarda Grass et continua la conversation :

" Tu ne peux pas savoir la chance que tu as Grass... tu as un passé, du vécu, une famille quelque par ... Moi, j'ai tout oublier, jusqu’à mon nom, comment j'ai pu oublier quelque chose d'aussi important ? Raaah ... *regarde un bout de réglisse* Oh Grass, je sais ! *le prend par les épaules* Toi, tu as un passé, tu pense ... que par exemple, tu pourrais me trouver un nom ? Tu es un poney intelligent ! Grass, je te le demande, trouve moi un nom, s'il te plait .... "

Je regardais Grass dans les yeux. je savais que je pouvais compter sur lui, j’étais ... confiant ... Je lui souriais doucement pendant que des petits flocons blanc tombaient sur la robe grise le Grass Mate le rendant blanc ... La même blancheur que ma robe ...

J'étais content, une petite blague pour détendre l'atmosphère marchait souvent, j’espérais que ça allait marcher aujourd'hui.... Mais c'était trop simple, et il ce remis en question sur sa fonction, sur son nom. Ça me mettait mal a l'aise, j'étais passer par ça il y a longtemps, et voila que ça lui arrive, c'est une chose ignoble, ne pas savoir ou l'on va, mais lui en plus, ne sais pas d'ou il viens !

Le pégase mystère regarda par la fenêtre, je suivais son regard, la tempête cessait, je me réconforta, j'avais peur qu'elle dure plus longtemps, lorsque je porta mon regard sur mon ami, il était plus la, il sortait dehors, je le suivie, il contemplait le ciel, le levais les yeux, le ciel gris, parsemer des flocons qui tombait, planait délicatement...

<<Atchii !>> Je redescendis mon regard, il allait prendre froid, je récupéra vite un bonnet et une écharpe dans ma roulotte pour lui donner quand en sortant il m’attrapait les épaules, il me qualifiait "" d'intelligent "", ça me fit légèrement rire, la dernière fois qu'on me disait ça c'était quand je partais sur les routes... <<Soit Intelligent, fait pas le con, reste avec nous ! Que t'apportera une vie sur les route comme ça ?>>... Et je suis toujours sur les routes, c'est que je ne suis toujours pas intelligent... Arf, peut importe, la question actuelle était de lui trouver un nom, seul truc que je suis pas douer... les noms, dans qu'elle merde il vient de me mettre ???

Je cherchait autours de moi, qu'est ce qui peut lui donner un nom ??? Puis je voyais la petite boite de bonbon posé sur le rebord de la roulotte, il restait qu'UN réglisse.... Moyen de s'en sortir !!


Je lui souriais, soit il tombe dans la blague, soit bah ça va l'énerver que je prenne pas trop au sérieux son problème, mais tous comptes fait, ça sonne bien comme nom pour lui, en plus il m'a vider tout mes réglisses, donc il les remplacera !

Le jour commençais déjà a se lever doucement, j'avais pas dormis de la nuit depuis que je l'avais trouver, mais la n'étais pas trop le problème, j'essayais de profité d'être assez près de lui pour l'habiller un peu, je lui mis le bonnet et l'écharpe faisant un petit nœud sans l'étrangler, le mix des couleur allait bien sur son pelage blanc.... C'était bien ainsi.

Je me tournais un peu, et vis ma roulotte, beaucoup de neige dessus et sur les cotés qui la bloquait, va falloir que je dégage ça, je m'en approchais, je fis une petite boule de neige dans mes sabots... CHBOUF !! Il avait le museau couvert de neige, c'était rigolo ! Je me roulait au sol, c'était trop drôle !