L'arrivant [Libre]

Cela faisait déjà quelques heures que le noir de la nuit régnait, seulement transpercer par la lueur du ciel étoilé, et par les rayon de l'aurore boréal lointaine.
La grande avenue qui traversait la nuit du Nord au Sud n'était pas déserte, des fêtards et des traînards ci trouvaient, éclairé par les lampadaires bienveillant de la ville, profitant de la fraîcheur de la soirée.
A l’extrême nord de l'avenue une ombre avançait, une silhouette commençait a rutilé a la lumière, une armure couverte de gel, les pattes traînante frottait le sol dans une raclure de métal crissant déchirant la nuit autours de lui, attirant les regard interloquer des gens, se posant des questions.
Le poney en question, dans son armure ne croisait pas le regard des autres, il avançait, lentement, portant son lourd sac et son imposante armure, même si on le voyait pas, on pouvait deviner sa fatigue, son pas lent, sa tête courber vers le sol et ces trébuchement répétitif montrait son épuisement.
Épuisement compréhensible, si l'on connaissait son parcours, ce chevalier revenait de l'enfer de glace, son réveil ayant eut lieu quelques heures plus tôt dans la journée, et avoir appris l'effrayante nouvel d'avoir tous perdu de ce qu'il avait, de ce qu'il connaissait.
Seul de son rôle, de son engagement, il se souvenait de son ancienne vit, rien de plus, ni son nom, ni sa famille, il n'avait vraiment plus rien.
Il se traîna encore un peu, puis aperçu une bâtisse
Il entra dans l'auberge et s'approcha du comptoir


Il sortait de sa bourse le nombre de pièces d'or, or la monnaie d’antan, seul qui lui restait, ne valait guère plus que des gland, et le poney fut jeter dehors.
Il se retrouvait seul dans cette ville inconnue pour lui, sans personne...